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Le 4 juillet 1952, une jeune femme de 34 ans, Florence Chadwick, décida d'être la première femme à rejoindre à la nage la côte de Californie depuis L'île de Catalina.

Elle avait déjà battu des records de nage en traversant la Manche.

Pour cette traversé, elle est accompagné de petits bateaux pour surveiller si des requins étaient dans les parages et ils étaient prêts à l'aider si elle se blessait ou devenait trop fatigué. Heure après heure, Florence a nagé, mais après environ 15 heures, une épaisse brume s'installe. Florence commence à douter de sa capacité et elle dit à sa mère, qui se trouvait dans l'un des bateaux, qu'elle ne pense pas qu'elle peut le faire. Sa mère et son entraîneur continue d'offrir leurs encouragements et la rassure en lui disant que le but est proche, mais tout ce qu'elle voit est le brouillard. Ils l'exhorte de ne pas s'arrêter. Elle ne l'avais jamais fait... jusque là.

15 heures et 55 minutes de nage, et elle déclare forfait, malgré les encouragement de son entraineur et de sa mère

Aujourd’hui je veux partager avec vous le mot qui coûte à plus 90% des entrepreneurs leur liberté.

Oui, Cela se réduit à un seul mot !

Quel est ce seul mot qui emprisonne la plupart des entrepreneurs et des patrons bien intentionnés dans l'exploitation quotidienne de leur entreprise…

Le mot est – contrôle!

Permettez-moi de vous poser une question, qu’est-ce qui a déclenché pour vous l’idée de démarrer votre propre entreprise ou de prendre des responsabilités? Si vous êtes comme beaucoup de nos clients, avoir le contrôle de votre propre avenir financier, de mener le bal, sont les grandes raisons du choix de démarrer votre propre entreprise.

Vous étiez fatigués d’avoir d’autres personnes qui vous disaient ce que vous aviez à faire, et comment il fallait le faire. Vous étiez fatigué d'écouter autrui vous dire comment faire votre travail, un travail que d’ailleurs vous étiez probablement beaucoup plus aptes à faire qu’eux!

Donc, vous avez fait le grand le saut et commencé votre propre entreprise.

Comme je commençais à m’aimer, je découvris que l’angoisse et la souffrance émotionnelle n’étaient que des signaux pour m’avertir que je vivais à l’encontre de ma propre vérité. Aujourd’hui je sais que cela s’appelle l’authenticité.

Comme je commençais à m’aimer, je compris combien je pouvais blesser une personne lorsque j’essayais de la forcer à se conformer à mes désirs, même si je savais que ce n’était pas le bon moment et qu’elle n’était pas prête, et même lorsque cette personne était moi. Aujourd’hui, je l’appelle respect.

Comme je commençais à m’aimer, je m’arrêtai de souhaiter une vie différente et je vis que tout ce qui m’entourait m’invitait à grandir. Aujourd’hui, je l’appelle maturité.